L’ancien maire de New York a soumis lundi aux Nations Unies une lettre signée par plus de 1.000 organisations prêtes à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
“On est toujours dedans”. Le milliardaire new-yorkais Michael Bloomberg a soumis lundi aux Nations Unies une lettre signée par plus de 1.000 organisations, entreprises et autorités locales américaines, prêtes à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre malgré le retrait de Donald Trump de l’accord de Paris.
L’ancien maire de New York, 10e fortune mondiale et très engagé sur le climat, avait indiqué dès vendredi que des dizaines de maires, gouverneurs et entreprises étaient prêts à poursuivre leurs efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il avait aussi annoncé que sa fondation Bloomberg Philanthropies, fournirait au bureau de l’ONU chargé du climat les 15 millions de dollars qui équivalent à la contribution que devaient apporter les États-Unis.
More than 1,000 cities, states, businesses & universities commit to delivering on the Paris Agreement. https://t.co/8hr1CXaPPj #WeAreStillIn pic.twitter.com/nKzrs2zoDX
— Mike Bloomberg (@MikeBloomberg) 5 juin 2017
La “grave erreur” de la sortie des États-Unis
Maintenant que la barre symbolique du millier de signatures a été franchie, la lettre ouverte a été remise au secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. Les signataires y dénoncent le retrait des États-Unis comme une “grave erreur”. “Aux États-Unis, ce sont les autorités locales et des États qui…
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